Une autre empreinte
Prix photo Dahinden
pour l'environnement
et l'éco-conception
Chacun doit être acteur et passeur d’une façon de faire plus durable et respectueuse de l’environnement.
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©Daesung Lee, lauréat et prix du Public de la 1e édition d’Une autre empreinte
Agir en faveur de l’environnement
Conscients de l’importance de notre responsabilité sociétale, Dahinden agit concrètement au quotidien pour réduire son impact environnemental et soutenir l’inclusion.
Avec Une autre empreinte – prix photo Dahinden, nous travaillons pour promouvoir une création plus responsable, l’éco-conception dans le milieu artistique et pour sensibiliser les publics aux enjeux environnementaux.
Produire des images a un impact ; comment agir pour réduire notre empreinte et apporter des solutions concrètes ?
C’est la mission que se donne au quotidien le laboratoire Dahinden en privilégiant des impressions sans solvants ni UV ; l’utilisation de papiers Fine Art plus vertueux ou de supports bâches sans PVC et recyclables…
Thématique 2025 - La mer est ton miroir
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Exposition Une autre empreinte #1 sur les quais de Seine
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©Maxime Riché - Solo show à Paris Photo 2024
Après quatre éditions consacrées aux éléments, Une autre empreinte 2025 invite les photographes pour un nouveau cycle qui accompagnera les trois prochaines éditions.
Qui sont les nouveaux humanistes qui font voir l'homme dans son environnement, entre utopie et dystopie; et qui donnent à voir nos actions qu'elles soient négatives ou positives ?
Entre frayeur et fascination, la mer a toujours été source d'inspiration pour les hommes.
La mer est ton miroir : comment reflète t-elle nos confrontations environnementales, entre désespoir et espoir ?
La mer sera à l'honneur en 2025 en France, une occasion unique de mettre en avant les nouveaux humanistes qui photographient le milieu marin et les actions menées par les hommes pour sa préservation.
Les lauréats 2025
Irène Jonas
Série "Histoires sans paroles ou la montée des eaux"


L’érosion littorale est un phénomène qui se traduit par le recul du trait de côte. Ce phénomène de recul s’accélère en raison notamment de l’élévation progressive du niveau des océans, de l’effet des aménagements anthropiques, mais aussi de l’accroissement des fréquences et intensités des évènements météorologiques extrêmes. Une quarantaine de communes sont concernées par ce recul de la frontière entre terre et mer sur le littoral finistérien, entraînant l’émergence de risques comme celui des submersions marines lors des tempêtes.
Ce phénomène inéluctable qui s’inscrit dans un temps long peut connaître des épisodes brutaux selon les endroits. À marée haute, les fortes vagues engendrées par les vents attaquent directement les parties hautes de l’estran et peuvent provoquer en quelques marées des reculs impressionnants du trait de côte. L’impact est encore plus marqué lorsque leur passage coïncide avec les grandes marées.
Masoumeh Bahrami
Série "The Tears of Motherland"


L'Iran s'assèche. Les sécheresses ne sont plus des avertissements ; elles font partie du quotidien. Masoumeh Bahrami est originaire des rives sud de la mer Caspienne, où l'eau était autrefois synonyme de vie et où le silence s’étend désormais. La zone humide internationale de Miankaleh, classée réserve de biosphère par l'UNESCO, a longtemps été un sanctuaire pour les oiseaux migrateurs et les espèces menacées.
Aujourd'hui, son rôle vital se réduit. Le niveau des eaux baisse rapidement en raison des fluctuations de la mer Caspienne, des détournements excessifs de rivières, de la surexploitation agricole et d'années de mauvaise gestion environnementale. Selon des études récentes, près de 30 % de la zone humide est déjà asséchée. La mer Caspienne, plus grande étendue d'eau intérieure fermée au monde, relie plusieurs nations. Son avenir environnemental n'est pas seulement une préoccupation régionale, mais une responsabilité partagée. Ce qui se passe sur sa côte sud a des répercussions bien au-delà des frontières.
Pierre Vanneste
Série "Dremmwel"


Durant quatre années consécutives, Pierre Vanneste est allé à la rencontre des marins, sur plusieurs zones de pêche en Atlantique Est et en Méditerranée. Ses traversées à bord de différents types de bateaux et les témoignages recueillis lui ont donné l'envie de dresser le portrait d’un monde qui, selon lui, illustre judicieusement la relation que l’homme entretient aujourd’hui avec son environnement.
Avec le doublement de la population mondiale depuis 1960, et l'évolution des régimes alimentaires, la quantité de poissons extraite des océans a radicalement augmenté, atteignant plus de 171 millions de tonnes en 2017. Afin d’alimenter la grande distribution, les bateaux sillonnent de multiples zones de pêche, selon les espèces visées. La pêche industrielle cible en priorité les espèces les mieux valorisées sur le marché international, affaiblissant certains maillons de la chaîne alimentaire.
Vote du public
À vous de décider qui sera le ou la gagnant.e du Prix du Public, qui bénéficiera d'un solo show à Arles en 2026 lors de la prochaine édition des Rencontres. Votez pour votre lauréat.e préféré.e, et tentez votre chance de gagner l'impression d'un tirage photo.
Dotations
Pour les trois lauréat.e.s finalistes :
• Une exposition en extérieur sur les quais de Seine (face à la Conciergerie) dans le cadre de la troisième édition de la Biennale Photoclimat du 12 septembre au 12 octobre 2025 (vernissage le 17 septembre)
• Production sur des supports extérieurs plus responsable et encadrements construits avec des matériaux de récupération
• Une communication dédiée
• Des vitrophanies sur les vitrines du laboratoire, rue française, rue Tiquetone et rue Palestro, Paris 2e
Pour le Prix du public :
• Production et encadrement d'œuvres (choix papier parmi la gamme Natural Line de notre partenaire Hahnemühle)
• Une communication dédiée

Un écosystème de partenaires engagés
Afin de maximiser l’impact de la mission du prix, Dahinden souhaite créer un écosystème de partenaires complémentaires et engagés, dans une démarche de sensibilisation toujours plus vertueuse.


En 2021, le nom du lauréat du prix du public, Daesung Lee a été annoncé durant la première édition de la biennale Photoclimat.
Photoclimat a réuni un ensemble d’expositions des artistes internationaux et des acteurs majeurs de l’écologie en France, et a permis de visiter un parcours à ciel ouvert, gratuit, doté d’une scénographie unique, intégrant les principes de l’économie circulaire, du recyclage et de l’éco-conception.

Créé fin 2007, Polka magazine est une publication trimestrielle qui raconte le monde, ses changements et bouleversements en photos. Reportage, art, portfolios… La revue de toutes les photographies est en version imprimée et sur le web.
Depuis 2012, Polka s’engage contre la déforestation en imprimant chaque numéro sur un papier certifié PEFC, qui atteste du respect des fonctions environnementales, économiques et sociales des forêts. L’engagement responsable de Polka se retrouve aussi dans sa ligne éditoriale avec régulièrement le choix porté sur des sujets de société abordant la thématique de l’environnement.

Pour cette cinquième édition, Hahnemühle nous accompagne à nouveau pour une production sur des supports responsables.
Son ADN repose sur une attitude respectueuse de l’environnement, en veillant à le préserver et assume sa responsabilité sociale car ses papiers de qualité ne pourraient exister sans un tel degré d’engagement.


Avec la prise de conscience des conséquences de l’activité humaine sur l’environnement s’est développée une nouvelle approche de la création et de la qualité.
Chez Roche Bobois, l’éco-conception fait partie intégrante de ces deux notions : un produit n’est créatif et de qualité que s’il respecte l’environnement au sens large, et celui de nos clients en particulier. Roche Bobois développe des nouveaux produits, mieux éco-conçus, mais repense également les produits existants pour les rendre plus vertueux.


RSF défend depuis 1985 la liberté de l’information et la sécurité des journalistes à travers le monde. Partenaire d’Une autre empreinte – prix photo Dahinden, l’ONG rappelle combien l’image éclaire le débat public : documenter, alerter, rendre visibles les enjeux environnementaux et sociétaux qui traversent notre époque.
En 2025, à l’occasion de ses 40 ans, RSF présente l’exposition itinérante "Photographier le monde de demain", hommage au photojournalisme engagé, tout en poursuivant ses actions pour garantir le droit d’informer et d’être informé.
Label l’année de la mer - La Mer en commun
Le prix photo Dahinden Une autre empreinte est porteur du label d'État l’année de la mer - La Mer en commun, attribué pour l'année 2025 par le Ministère de la Transition écologique, de la Biodiversité, de la Forêt, de la Mer et de la Pêche.
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Les lauréats des éditions précédentes
Cycle autour des 4 éléments :
La première édition du prix, en 2021, avait pour thème "l'eau". Retrouvez les projets des trois lauréats 2021 : Elsa Leydier, Chow and Lin et Daesung Lee (qui avait remporté le prix du public).
La deuxième édition du prix, en 2022, avait pour thème "la terre". Retrouvez les projets des trois lauréats 2022 : Sandrine Elberg, Julien Coquentin et Xavier Dumoulin (prix du public).
La troisième édition du prix, en 2023, avait pour thème "l'air". Retrouvez les projets des trois lauréats 2023 : Juliette-Andréa Elie, Florence Joubert et Alain Delorme (prix du public).
La quatrième édition du prix (2024) avait pour thème "le feu". Retrouvez les projets des trois lauréats 2024 : Sophie Alyz, Aletheia Casey et Maxime Riché (prix du public).
Demande de contact
Pour toute demande à propos d'Une autre empreinte - prix photo Dahinden, vous pouvez utiliser ce formulaire ou contacter Yuki Baumgarten.

Yuki Baumgarten
Art Manager Dahinden
+33 (0)6 19 60 76 39
ybaumgarten@dahinden.fr